Ou comment monter Richard III avec 3 acteurs et en moins de deux heures alors que le texte se joue en 4h et qu’il compte 64 personnages ?
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François Thollet et Grégory Faive proposent une promenade théâtro-musicale, tendre et ludique parmi les Sonnets de Shakespeare que les deux complices ont rassemblés et choyés, pour le plus grand plaisir des spectateurs.
- En tournée
Dans cette création, imaginée à partir de recettes, de souvenirs et de vocabulaire culinaire, Grégory Faive nous invite à saliver et déguster ce qui fait la saveur d’un repas, que ce soit grâce au menu ou aux personnes avec qui nous le partageons…
- En tournée
A et B dissertent sur l’importance ou non de couchers de soleil pour rester en vie dans un texte inédit de Serge Papagalli.
- En tournée
Grégory Faive et Anne Castillo adaptent le roman de Fabrice Caro dans un quasi-seul en scène réjouissant où le spectateur rit de se reconnaître dans les désarrois d’Adrien.
Quel drôle d’endroit que celui du théâtre, où depuis toujours des hommes sont venus écouter d’autres hommes leur raconter de choses, comme Grégory Faive vient le faire dans ce seul en scène.
Projet participatif Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare
Traduction de Pascal Collin aux éditions Théâtrales, avec les habitant.e.s du Grésivaudan
Pour accompagner la réouverture du Musée Archéologique du Paladru, le Chat du désert a proposé une déambulation aux abords du musée, élaborée à partir des textes écrits par les habitants du Pays Voironnais.
Un metteur en scène décide de monter La Mouette de Tchekhov à la manière des comédies musicales de Broadway. Le spectateur est invité à voir, de l’autre côté du miroir, cette tentative de faire tenir ensemble ce qui apparemment ne le peut pas.
Les comédiens vous proposent d’écouter la voix des morts nous racontant leur vie, leur disparition, leurs regrets, leurs angoisses, leur ignorance dans cette polyphonie, où s’entrechoquent des récits qui viennent sensiblement résonner sur nos propres vies.
Les comédiens s’amusent dans cette version inversée de On purge bébé, diaboliquement imaginée par Calaferte.
Ces textes ne portent qu’une seule revendication : celle de vivre. Et ce, non pas en nous sacrifiant pour le monde, mais simplement y trouver notre place, pouvoir le lire et ainsi pouvoir agir.
Six comédiennes, mises en scène par Grégory Faive, s’amusent à se déchirer en jouant les reines victimes de Richard III.
Une troupe de théâtre, en fin de vie, épuisée, fuit une guerre imminente.