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A quoi servent les Points-Virgules ?

Durée : 1h20

Public : Tout public

Deux personnages sont là, comme par hasard, dans un parc.
A est sur un socle de statue. Debout, il va sauter.
B est assis sur un banc. Une plante verte égaye.
A ne voit que le côté sombre de la vie.
Il est le pessimiste et le cynique aussi.
Il va se suicider.
B ne semble voir que le côté joyeux de l’existence.
Serait-il l’optimiste ? L’angélique sûrement.
Les deux ne forment, bien sûr, qu’un seul.
Le « mélange » se fera progressivement. (...)
Gazouillis d’oiseaux, une musique de jardin public.
Quelques bruits de ville, au loin, la nuit.
La solitude la plus dure est celle qu’on vit à deux.    

Serge Papagalli

Serge Papagalli a fait le cadeau de ce texte inédit à Emilie Geymond et Grégory Faive qui ont immédiatement trouvé matière à se donner joyeusement la réplique sur la question de la rencontre, thématique qui traverse toutes les créations de la compagnie. 

Ils sont donc  A et B : le pessimiste et l’optimiste, un homme et une femme, un acteur et une actrice... A est désespéré, planté sur son socle ridicule d’où il imagine pouvoir mettre fin à ses jours. B est sur son banc et s’apprête à se noyer dans la contemplation d’un coucher de soleil. 

Et pour que rien ne trouble ce rendez-vous, B demande à A de se reprendre… Et c’est parti !
En cédant à la conversation, ils ignorent tous les deux qu’ils vont faire se rencontrer leurs joies et leurs désespoirs et mettre à jour, pour le spectateur, le difficile équilibre qu’est celui de tenir sur le fil de l’existence.

Deux personnages sont là, comme par hasard, dans un parc.
A est sur un socle de statue. Debout, il va sauter.
B est assis sur un banc. Une plante verte égaye.
A ne voit que le côté sombre de la vie.
Il est le pessimiste et le cynique aussi.
Il va se suicider.
B ne semble voir que le côté joyeux de l’existence.
Serait-il l’optimiste ? L’angélique sûrement.
Les deux ne forment, bien sûr, qu’un seul.
Le « mélange » se fera progressivement. (...)
Gazouillis d’oiseaux, une musique de jardin public.
Quelques bruits de ville, au loin, la nuit.
La solitude la plus dure est celle qu’on vit à deux.    

Serge Papagalli

Serge Papagalli a fait le cadeau de ce texte inédit à Emilie Geymond et Grégory Faive qui ont immédiatement trouvé matière à se donner joyeusement la réplique sur la question de la rencontre, thématique qui traverse toutes les créations de la compagnie. 

Ils sont donc  A et B : le pessimiste et l’optimiste, un homme et une femme, un acteur et une actrice... A est désespéré, planté sur son socle ridicule d’où il imagine pouvoir mettre fin à ses jours. B est sur son banc et s’apprête à se noyer dans la contemplation d’un coucher de soleil. 

Et pour que rien ne trouble ce rendez-vous, B demande à A de se reprendre… Et c’est parti !
En cédant à la conversation, ils ignorent tous les deux qu’ils vont faire se rencontrer leurs joies et leurs désespoirs et mettre à jour, pour le spectateur, le difficile équilibre qu’est celui de tenir sur le fil de l’existence.

Deux personnages sont là, comme par hasard, dans un parc.
A est sur un socle de statue. Debout, il va sauter.
B est assis sur un banc. Une plante verte égaye.
A ne voit que le côté sombre de la vie.
Il est le pessimiste et le cynique aussi.
Il va se suicider.
B ne semble voir que le côté joyeux de l’existence.
Serait-il l’optimiste ? L’angélique sûrement.
Les deux ne forment, bien sûr, qu’un seul.
Le « mélange » se fera progressivement. (...)
Gazouillis d’oiseaux, une musique de jardin public.
Quelques bruits de ville, au loin, la nuit.
La solitude la plus dure est celle qu’on vit à deux.    

Serge Papagalli

Serge Papagalli a fait le cadeau de ce texte inédit à Emilie Geymond et Grégory Faive qui ont immédiatement trouvé matière à se donner joyeusement la réplique sur la question de la rencontre, thématique qui traverse toutes les créations de la compagnie. 

Ils sont donc  A et B : le pessimiste et l’optimiste, un homme et une femme, un acteur et une actrice... A est désespéré, planté sur son socle ridicule d’où il imagine pouvoir mettre fin à ses jours. B est sur son banc et s’apprête à se noyer dans la contemplation d’un coucher de soleil. 

Et pour que rien ne trouble ce rendez-vous, B demande à A de se reprendre… Et c’est parti !
En cédant à la conversation, ils ignorent tous les deux qu’ils vont faire se rencontrer leurs joies et leurs désespoirs et mettre à jour, pour le spectateur, le difficile équilibre qu’est celui de tenir sur le fil de l’existence.

Equipe artistique

Texte : Serge Papagalli

Jeu et mise en scène : Emilie Geymond et Grégory Faive sous le regard bienveillant de Serge Papagalli

Création lumière : Mathieu Tomasini

Création son : Laurent Buisson

Partenariat

Production : Le Chat du désert

Soutiens : Ville de Grenoble et Département de l’Isère.

A Propos

Le spectacle a été créé en mai 2018, dans le cadre des Escales du Grand Angle, à Voreppe, Tullins, Charnècles et Montferrat. Il a ensuite tournéen Isère au Château de Bon Repos à Jarrie, à l’Espace culturel Navarre de Champs sur Drac, place d’Agier à Grenoble (38) et de nombreuses fois à domicile.

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